Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Miroir primaire d’1,50 m de diamètre du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Miroir primaire d’1,50 m de diamètre du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Au centre, le miroir tertiaire ainsi que l’image du miroir secondaire. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Vue extérieure de la coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Vue extérieure de la coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Télescope MéO, dont on distingue au fond du tube le miroir primaire (1,50 m de diamètre), sur le plateau de Calern

Télescope MéO, dont on distingue au fond du tube le miroir primaire (1,50 m de diamètre), sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Coupole du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Système femtoseconde de mesure et d’intercomparaison de fréquences optiques

Système femtoseconde de mesure et d’intercomparaison de fréquences optiques. Cette installation, qui mesure les rapports de fréquence des différentes horloges atomiques du SYRTE, a été progressivement informatisée, automatisée et s’approche aujourd’hui de l’autonomie totale. Les ordinateurs comptent les fréquences et entrent les résultats dans des fichiers de données tout en estimant leur validité. Ce même dispositif sert, via un lien optique fibré de plusieurs milliers de kilomètres distribuant une référence infrarouge (1542 nanomètres) à travers toute l’Europe, à mesurer les rapports de fréquence entre les horloges du SYRTE et celles de ses partenaires européens.

Système femtoseconde de mesure et d’intercomparaison de fréquences optiques

Système femtoseconde de mesure et d’intercomparaison de fréquences optiques. Cette installation, qui mesure les rapports de fréquence des différentes horloges atomiques du SYRTE, a été progressivement informatisée, automatisée et s’approche aujourd’hui de l’autonomie totale. Les ordinateurs comptent les fréquences et entrent les résultats dans des fichiers de données tout en estimant leur validité. Ce même dispositif sert, via un lien optique fibré de plusieurs milliers de kilomètres distribuant une référence infrarouge (1542 nanomètres) à travers toute l’Europe, à mesurer les rapports de fréquence entre les horloges du SYRTE et celles de ses partenaires européens.